When it’s real – Erin Watt

Synopsis:

Mesdames et messieurs, voici Oakley Ford! Popstar célébrissime, en une de tous les magazines, des millions de fans, et surtout… un caractère bien trempé ! À première vue, Oakley semble avoir tout pour lui, mais sa famille est en train d’exploser en vol. Et malheureusement, sa musique et son inspiration aussi. Après une énième frasque relatée dans les tabloïds, son équipe doit réagir: il lui faut redorer son image au plus vite! Trouver une fausse petite amie, une fille douce et sage, qui prouvera au monde entier qu’il a changé… C’est là que Vaughn Bennett entre en scène. Grande soeur dévouée, étudiante et serveuse à temps partiel: en quelques mots, le prototype même de la fille  » normale « . La preuve : elle n’aurait jamais accepté cette mission si sa famille n’avait pas des soucis d’argent. Elle n’a pas vraiment le choix. Et il faut dire que la magie et les paillettes d’Hollywood sont loin de lui déplaire. Mais en ce qui concerne Oakley, c’est une autre affaire. Cet abruti prétentieux, terriblement égoïste? Ce n’est pas comme s’ils allaient vraiment craquer l’un pour l’autre dans la vraie vie! N’est-ce pas?

Mon avis:

Le contexte est classique: c’est l’histoire d’un gars célèbre et riche qui peut avoir toutes les filles qu’il veut et qui a vécu beaucoup trop de choses pour son âge – il n’a que dix-neuf ans!- et qui ne le sait pas, mais il a envie de se poser et de se réinventer. Pour cela, ses agents lui disent qu’il faut qu’il ait une fausse petite-amie qui soit tout son opposé, comprenez par là normale et si possible, pas intéressée par lui. Le but étant de se refaire une réputation car Oak a un passé sulfureux et qu’il doit s’en défaire s’il veut bosser avec le producteur de ses rêves.

Là, entre en scène Vaughn. A dix-sept ans, elle a eu son bac avec un d’avance et pris une année sabbatique afin de travailler et d’aider sa grande soeur, Paisley, à assurer les besoins de leur foyer. Avec en plus deux petits frères jumeaux, Shane et Spencer, la vie est plutôt difficile pour elles depuis que leurs parents sont morts, deux ans avant.

Quand Vaughn et Oak se rencontrent, ils se font instantanément sortir de leurs gonds, ce qui arrange bien Vaughn car elle a déjà un petit-ami, W, et qu’elle n’a accepté de jouer la petite-amie d’Oak que pour des raisons financières.

J’ai dévoré les pages de ce roman bien qu’au début, j’ai été agacée par la manière dont Vaughn s’accroche à W alors que c’est un vrai *onnard. Je ne comprenais pas pourquoi elle persistait à ignorer la pression qu’il lui met pour qu’elle fasse ce que lui veut et l’égoïsme monstre dont il fait preuve. Même plus tard, lorsque ceci est expliqué, je suis restée sceptique. Alors, qu’est-ce que j’ai été heureuse de le voir dégager! J’ai eu peur tout le long du roman qu’il revienne pour jouer un mauvais tour mais au moins, Vaughn a enfin été débarrassée de ce boulet.

Ensuite, quand Vaughn et Oak apprennent à se connaître, on ne peut que se prendre au jeu car la vision d’Oak sur elle me fait rêver. Il me rappelle tous les rêves que j’ai pu avoir sur les Hanson et me fait me remémorer comme je voulais trop les rencontrer.

When it’s real est un conte de fées qui me happe et m’enveloppe dans un cocon de nostalgie. C’est une lecture parfaite en cette période hivernale pour réchauffer nos coeurs. Je me suis laissée prendre avec plaisir dans ce récit qui réveille mon côté midinette et j’ai été happée du début à la fin. J’ai adoré retrouver la plume d’ Erin Watt: mes émotions ont été largement sollicitées, j’ai été très touchée par certains thèmes abordés comme la fragilité des liens familiaux ou l’importance de s’entourer de gens sincères. J’ai donc passé un très bon moment à lire When it’s real.

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