[CULTURE] Festival Sans nom 2022

Cette année marque les 10 ans de ce festival qui s’est fait un nom et pour l’occasion, l’affiche était sublime, que ce soit tant en terme graphique qu’en terme d’invités.

Evidemment, j’y suis allée pour mon auteur chouchou, que je voyais là pour la quatrième fois. Si vous avez encore besoin de me demander pour savoir qu’il s’agit d’Olivier Norek, alors, vous n’avez pas été assez attentifs en lisant mes chroniques.

J’ai bien rigolé car il s’est fait enguirlander, gentiment, par mon mari pour avoir quitté la table alors que je faisais la queue et il ne s’est pas laissé démonter devant la pile de livres que je lui ai apporté à dédicacer. C’est un amour! Notamment sur la dédicace qu’il a faite pour mon loustic:

Place aux dédicaces pour moi. Pour la petite histoire, c’est la 2eme fois que je lui donne Entre deux mondes à dédicacer, car ma belle-mère ne se décide pas à me rendre mon exemplaire. Vous allez me dire, « tout ça »? Ce à quoi je vous répondrai que d’autres livres sont restés dans le sac, mon mari estimant que j’abusais à lui faire déjà signer tout ça. Donc, il en a réservé pour la prochaine fois.

Cette année marque mon entrée dans le roman noir français. J’ai donc rencontré et échangé avec 9 autres auteurs aujourd’hui et c’était top!

Mon objectif était de tous les lire et les chroniquer avant le festival mais vous savez ce que c’est. Trop de livres et pas assez de temps. Je suis repartie avec deux nouveaux achats, signés Alexis Laipsker et Olivier Bal.

Un autre auteur avec qui j’ai bien rigolé, c’est Nicolas Lebel. Damn, quand je l’ai vu, j’ai trouvé qu’il était le sosie parfait de l’acteur qui joue Bohort dans Kaamelot. J’ai peut-être fumé du slip mais mon mari lui trouve plutôt un air de Jean-Paul Rouve.

R.J. Ellory a été un amour! Depuis le temps que je voyais son nom revenir dans les salons, j’étais très heureuse de pouvoir enfin échanger avec lui.

Ian Manook a fait ma journée en m’apprenant qu’un nouveau recueil de nouvelles allait sortir, toujours sous la direction de Yvan Fauth. Quel régal!

Niko Takian m’a fait perdre mes moyens. J’en ai oublié de lui faire dédicacer Respire, qui va bientôt enfin de sortir ma PAL.

Au niveau des filles, j’ai raté Claire Favan et du coup, j’ai oublié d’acheter son nouveau roman, De nulle part. Je n’ai dormi que 2h tant j’étais excitée par le festival qu’il me manquait quelques neurones aujourd’hui. Mais ce n’est que partie remise.

J’ai pu parler avec Danielle Thiéry et Julie Ewa qui a été une révélation dans le recueil Ecouter le noir.

Enfin, j’aurais énormément regretté de rater l’occasion de dire à Henri Loevenbruck mon amour pour son roman, Nous rêvions juste de liberté qui est un coup de coeur magistral. Ce livre, c’est une claque alors oui, je me devais de le voir.

Et voilà pour cette édition 2022. Comme vous le voyez, il y avait beaucoup de beaux noms à l’affiche. C’était comme se promener au milieu des Avengers. En plus de ça, j’ai pu faire la connaissance d’autres blogueurs. C’était une journée magnifique.

2 commentaires sur « [CULTURE] Festival Sans nom 2022 »

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